Les universités et la recherche agricole

cg.contributor.affiliationTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
cg.howPublishedFormally Publisheden
cg.identifier.urlhttps://hdl.handle.net/10568/99648en
cg.issn1011-0046en
cg.journalSporeen
cg.number74en
cg.placeWageningen, The Netherlandsen
dc.contributor.authorTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
dc.date.accessioned2015-03-23T11:09:27Zen
dc.date.available2015-03-23T11:09:27Zen
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/10568/60859
dc.titleLes universités et la recherche agricolefr
dcterms.abstractLes universités peuvent contribuer de manière significative au développement agricole des pays d'Afrique subsaharienne, telle est la conclusion d'un atelier international qui s'est tenu en novembre 1997en
dcterms.accessRightsOpen Access
dcterms.bibliographicCitationCTA. 1998. Les universités et la recherche agricole. Spore 74. CTA, Wageningen, The Netherlands.en
dcterms.descriptionLes universités et la recherche agricole Les universités peuvent contribuer de manière significative au développement agricole des pays d'Afrique subsaharienne, telle est la conclusion d'un atelier international qui s'est tenu en novembre 1997 à la station IITA (International Institute for Tropical Agriculture) de Calavi, au Bénin. Co-organisé par l'ISNAR (International Service for National Agricultural Research), le CTA, le ministère allemand de la coopération BMZ et les agences allemandes de développement GTZ et DSE, cet atelier a réuni plus de 50 professionnels dont 18 responsables d'universités et d'institutions de recherche qui avaient mené des études préparatoires sur ce thème dans six pays africains. Des représentants d'organisations régionales (ASARECA, SACCAR et CORAF), de l'IITA (Ibadan au Nigeria et Calavi au Bénin) et d'universités européennes participaient également à cette réunion. Les participants ont fait le point sur les facteurs qui amoindrissent l'impact de la recherche agricole sur le développement et ont discuté les recommandations et plans d'action élaborés pour les universités du Bénin, du Burkina Faso, de la Côte d'Ivoire, du Nigeria, de l'Ouganda et du Zimbabwe. Ils ont conclu que les universités peuvent et doivent entreprendre des recherches plus pertinentes pour l'agriculture des pays, et qu'elles doivent donc s'intégrer dans les systèmes nationaux de recherche agricole (SNRA), qui englobent non seulement les institutions de recherche mais aussi le secteur privé et les organisations non gouvernementales. Le renforcement des liens avec les services de vulgarisation devrait permettre d'accroître la pertinence et l'impact de la recherche universitaire. Le faible niveau du financement de l'activité de recherche dans les universités est le principal obstacle à la mise en application des recommandations de l'atelier. La faiblesse de la planification et de la gestion de la recherche, l'imprécision des mandats et des politiques et le manque de mesures incitatives pour les chercheurs sont également des contraintes importantes. En fin d'atelier, les organisations représentées ont identifié des actions spécifiques propres à renforcer la contribution des universités à la recherche agricole en Afrique. L'ISNAR, qui est à l'origine de cette initiative, utilisera les conclusions de l'atelier et des six études de cas pour préparer les grandes lignes d'orientation et des méthodologies d'étude généralisables à d'autres pays.en
dcterms.isPartOfSporeen
dcterms.issued1998
dcterms.languagefr
dcterms.publisherTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
dcterms.typeNews Item

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