Patate douce une sonde pour dépister les virus
cg.contributor.affiliation | Technical Centre for Agricultural and Rural Cooperation | en |
cg.howPublished | Formally Published | en |
cg.issn | 1011-0046 | en |
cg.journal | Spore | en |
cg.number | 51 | en |
cg.place | Wageningen, The Netherlands | en |
dc.contributor.author | Technical Centre for Agricultural and Rural Cooperation | en |
dc.date.accessioned | 2015-03-23T11:06:40Z | en |
dc.date.available | 2015-03-23T11:06:40Z | en |
dc.identifier.uri | https://hdl.handle.net/10568/60541 | |
dc.title | Patate douce une sonde pour dépister les virus | fr |
dcterms.abstract | Les chercheurs de la Faculté des Sciences Agronomiques de Gembloux (Belgique) travaillent depuis plusieurs années dans le cadre d'un programme européen pour identifier les gènes des virus de la patate douce et créer un matériel de détection... | en |
dcterms.accessRights | Limited Access | |
dcterms.bibliographicCitation | CTA. 1994. Patate douce une sonde pour dépister les virus. Spore 51. CTA, Wageningen, The Netherlands. | en |
dcterms.description | Les chercheurs de la Faculté des Sciences Agronomiques de Gembloux (Belgique) travaillent depuis plusieurs années dans le cadre d'un programme européen pour identifier les gènes des virus de la patate douce et créer un matériel de détection (sonde moléculaire) pouvant être utilisé facilement. Les scientifiques testent actuellement ces sondes en Chine, premier producteur mondial de patates douces (près de 90 % de la production), dans la province de Guandong. Dans ce pays, l'introduction de plants débarrassés de toute infection a permis d'enregistrer des augmentations de rendements spectaculaires (de 10 à 140 %), alors que les paysans hésitaient à cultiver la patate douce parce qu'ils ne pouvaient plus disposer de semences saines. La plupart de ces virus sont également présents en Afrique équatoriale où la patate douce et les autres plantes à tubercules (igname, manioc) représentent l'essentiel de la ration alimentaire. Ce matériel de détection aidera donc à lutter contre ces maladies virales de la patate douce pouvant engendrer jusqu'à 80 % de pertes de récolte. L'IRAZ (Institut de Recherches A~ronomiques) du Burundi et le Centre de Développement horticole de Dakar seront sans doute les premiers centres équipés de tels matériels. Philippe Lepoivre - Faculté des Sciences Agronomiques Laboratoire de Pathologie Végétale - B-5030 Gembloux – Belgique | en |
dcterms.isPartOf | Spore | en |
dcterms.issued | 1994 | |
dcterms.language | fr | |
dcterms.publisher | Technical Centre for Agricultural and Rural Cooperation | en |
dcterms.type | News Item |