LE TEMPS DES MANIFESTES

cg.contributor.affiliationTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
cg.howPublishedFormally Publisheden
cg.identifier.urlhttps://hdl.handle.net/10568/99652en
cg.issn1011-0046en
cg.journalSporeen
cg.number78en
cg.placeWageningen, The Netherlandsen
dc.contributor.authorTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
dc.date.accessioned2015-03-23T11:09:42Zen
dc.date.available2015-03-23T11:09:42Zen
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/10568/61023
dc.titleLE TEMPS DES MANIFESTESen
dcterms.abstractNous avons droiten
dcterms.accessRightsOpen Access
dcterms.bibliographicCitationCTA. 1998. LE TEMPS DES MANIFESTES. Spore 78. CTA, Wageningen, The Netherlands.en
dcterms.descriptionNous avons droit à l'information. » C'est sur ce mot d'ordre qu'une cinquantaine de délégués paysans des pays du Sud, africains pour la plupart, se constituent en réseau. Rassemblés en Lorraine début avril 1998, à l'invitation du mouvement AFDI (Agriculteurs français et développement international), ils débattent des conséquences d'une libéralisation accrue des échanges agricoles mondiaux. Ils insistent surtout pour que partenaires professionnels et instances européennes leur fournissent les éléments pour se forger un point de vue. Et font une intrusion en Euroland, pour défendre leurs revendications devant la Commission et le Comité des organisations professionnelles agricoles (COPA) de l'Union européenne1. Autres lieux, même leitmotiv. « Les accords de Lomé, vous connaissez ? », interroge le reporter du mensuel La voix du paysan dans les rues de Yaoundé. Il ne rencontre que des interlocuteurs perplexes. « Sortir la Convention de la clandestinité », entonnent à la fin juin les participants d'Afrique et des Caraïbes à « Couleurs Lomé », rencontre bruxelloise2. Les organisations paysannes affichent un souci — se retrouver dans la « toile d'araignée » des textes — et un espoir : préserver les droits des producteurs. « Au-delà des discussions techniques, résume une responsable kenyane, Mercy Karanja, l'ouverture des frontières pose un problème humain considérable. Il est en fait question de la survie de millions de familles rurales. » 1 Cf. Paroles paysannes (septembre 1998), brochure éditée par l'AFDI (11, rue de la Baume, 75008 Paris fax : + 33 1 42 89 58 16). 2 Réunion organisée avec l'appui d'ONG, le Collectif stratégies alimentaires (Belgique) ainsi que SOS faim Belgique et Luxembourg.en
dcterms.isPartOfSporeen
dcterms.issued1998
dcterms.languagefr
dcterms.publisherTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
dcterms.typeNews Item

Files