La bataille du bois dans les Iles Salomon

cg.contributor.affiliationTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
cg.howPublishedFormally Publisheden
cg.identifier.urlhttps://hdl.handle.net/10568/99666en
cg.issn1011-0046en
cg.journalSporeen
cg.number93en
cg.placeWageningen, The Netherlandsen
dc.contributor.authorTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
dc.date.accessioned2015-03-26T12:10:38Zen
dc.date.available2015-03-26T12:10:38Zen
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/10568/62653
dc.titleLa bataille du bois dans les Iles Salomonfr
dcterms.abstractThe first shipment of eco-timber from sustainably managed forest in the Marovo Lagoon area in the Solomon Islands reached Australia at the end of 2000, opening up a new ‘eco-export-channel’ and marking another phase in the battle to maintain...en
dcterms.accessRightsOpen Access
dcterms.bibliographicCitationCTA. 2001. La bataille du bois dans les Iles Salomon. Spore 93. CTA, Wageningen, The Netherlands.en
dcterms.descriptionThe first shipment of eco-timber from sustainably managed forest in the Marovo Lagoon area in the Solomon Islands reached Australia at the end of 2000, opening up a new ‘eco-export-channel’ and marking another phase in the battle to maintain tropical timber in the Pacific. Fin 2000, la première cargaison d’éco-bois issu des forêts de la zone du Lagon de Marovo aux Iles Salomon atteignait l’Australie. Cette nouvelle ' voie éco-exportatrice ', qui s’est ouverte alors même que des compagnies forestières étrangères poursuivent leur abattage destructif, marque une étape dans la bataille du bois tropical du Pacifique. Dans les années 80 et 90, alors que les rendements en bois tropicaux de l’Indonésie et de la Malaisie s’épuisaient, les entreprises forestières asiatiques et australiennes ont commencé à explorer d’autres territoires, faisant des forêts vierges des Iles Salomon leur nouvelle cible. Des milliers d’hectares étant coupés à blanc chaque année, les communautés locales ont cherché des solutions pour protéger leurs forêts tout en assurant à la population des ressources à long terme. Le FSC, une organisation internationale qui se positionne, en tant que conseil en gestion forestière, contre la destruction des forêts, fait alors figure de contre-pouvoir politique. En 1997, un premier chargement d’éco-bois certifié par cet organisme quittait les îles pour l’Australie. 41 000 hectares d’éco-bois sont aujourd’hui certifiés par le FSC. L’exportation est limitée à 1 000 m3 par an, mais les revenus correspondants restent essentiels pour les communautés locales. Le nouveau gouvernement des Iles Salomon n’a pas pour l’instant fait appliquer la nouvelle loi forestière qui prévoit une réduction de l’abattage industriel et qui devrait concourir à assurer la gestion durable des forêts.en
dcterms.isPartOfSporeen
dcterms.issued2001
dcterms.languagefr
dcterms.publisherTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
dcterms.typeNews Item

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