Une forêt de bonnes résolutions

cg.contributor.affiliationTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
cg.howPublishedFormally Publisheden
cg.identifier.urlhttps://hdl.handle.net/10568/99668en
cg.issn1011-0046en
cg.journalSporeen
cg.number95en
cg.placeWageningen, The Netherlandsen
dc.contributor.authorTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
dc.date.accessioned2015-03-26T12:10:54Zen
dc.date.available2015-03-26T12:10:54Zen
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/10568/62774
dc.titleUne forêt de bonnes résolutionsfr
dcterms.abstractNotre pays perd chaque année 1% de sa forêt sèche, soit 100 000 hectares ' a déclaré le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique du Bénin en ouvrant l’atelier international sur la 'Gestion intégrée des forêts...en
dcterms.accessRightsOpen Access
dcterms.bibliographicCitationCTA. 2001. Une forêt de bonnes résolutions. Spore, Spore 95. CTA, Wageningen, The Netherlandsen
dcterms.descriptionNotre pays perd chaque année 1% de sa forêt sèche, soit 100 000 hectares ' a déclaré le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique du Bénin en ouvrant l’atelier international sur la 'Gestion intégrée des forêts naturelles dans les zones sèches d’Afrique de l’Ouest ' tenu à Parakou, au Bénin, du 25 au 29 juin 2001. Des pertes aussi rapides ne sont pas rares en Afrique de l’Ouest, alors même que les ressources des États sont en diminution. Aussi les spécialistes des forêts se tournent-ils de plus en plus vers les communautés rurales. Les forêts sont de plus en plus exploitées pour diverses raisons: pression démographique, recherche de produits non ligneux comme les fruits, le miel et les huiles essentielles, besoins croissants en charbon de bois et bois de chauffage, chasse à la viande de brousse… Cette exploitation augmente les risques d’érosion et de feux de brousses. On plaide souvent, dans ce genre de réunion, pour la responsabilisation des communautés. Ce séminaire est allé plus loin. Le travail de terrain constituait une partie importante du programme, avec des débats remarquablement animés autour de la question de la participation des chercheurs aux activités villageoises. Les mesures suivantes ont été envisagées, puis adoptées parmi les recommandations finales : améliorer les techniques de stockage des graines contenant des huiles essentielles périssables, raccourcir la période de croissance de ces plantes, mettre au point des outils manuels plus adaptés, échanger les données de la recherche au sein de la région, programmer au mieux des feux contrôlés, mieux répartir les points d’abreuvement du bétail. La productivité du séminaire est à la hauteur de la participation importante : 81 participants de 8 pays d’Afrique de l’Ouest, d’Afrique du Sud, du Bénélux et de la France, 66 exposés et 400 questions débattues. Cet atelier a été rendu possible par la population et les autorités de Borgou et d’Alibori, l’Université nationale du Bénin, les coopérations française, allemande et suédoise, ainsi que le CTA.en
dcterms.isPartOfSporeen
dcterms.issued2001
dcterms.languagefr
dcterms.publisherTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
dcterms.typeNews Item

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