Mauvaises herbes des Petites Antilles

cg.contributor.affiliationTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
cg.howPublishedFormally Publisheden
cg.issn1011-0046en
cg.journalSporeen
cg.number38en
cg.placeWageningen, The Netherlandsen
dc.contributor.authorTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
dc.date.accessioned2015-03-23T11:05:59Zen
dc.date.available2015-03-23T11:05:59Zen
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/10568/60086
dc.titleMauvaises herbes des Petites Antillesfr
dcterms.abstractCet ouvrage bilingue (anglais, français) propose une description analytique des mauvaises herbes les plus courantes et les plus importantes des Petites Antilles. Réalisé par deux chercheurs, Jacques Fournet et John L. Hammerton, il est publié...en
dcterms.accessRightsLimited Access
dcterms.bibliographicCitationCTA. 1992. Mauvaises herbes des Petites Antilles. Spore 38. CTA, Wageningen, The Netherlands.en
dcterms.descriptionCet ouvrage bilingue (anglais, français) propose une description analytique des mauvaises herbes les plus courantes et les plus importantes des Petites Antilles. Réalisé par deux chercheurs, Jacques Fournet et John L. Hammerton, il est publié par l'INRA avec le concours financier du ministère français des affaires étrangères et du CTA. Jacques Fournet, directeur de la Station de pathologie végétale, de Phytoécologie et de Malherbologie du Centre INRA Antilles Guyane de PetitBourg (Guadeloupe) est un spécialiste de botanique et de phytoécologie. John L. Hammerton, ancien directeur régional (Sainte Lucie) et responsable régional d'Unité (Windward. Islands) du CARDI a réalisé de nombreux travaux de malherbologie à Belize, en Jamaïque et dans les Petites Antilles. Qu'entendent les auteurs par mauvaise herbe ? 'N'importe quelle plante peut être une mauvaise herbe. Cela dépend seulement de l'endroit où elle pousse et du moment où elle pousse en cet endroit', et ils concluent sur la dimension hautement subjective de la notion de mauvaise herbe. L'ouvrage décrit au total cent cinquante espèces par le texte et par la photo en couleurs. Si l'on ne trouve aucune recommandation concernant la lutte contre ces mauvaises herbes c'est que, préviennent les auteurs, les méthodes de lutte dépendent trop étroitement de l'environnement cultural dans lequel elles se développent. Aussi indésirables et nuisibles qu'elles soient, les mauvaises herbes peuvent être source de passion et de plaisir pour ceux qui les étudient. C'est du moins ce qui ressort de la lecture de cet ouvrage. Weeds of the Lesser Antilles Mauvaises herbes des Petites Antilles Edité par l'INRA 147, rue de l'Université 75007 Paris FRANCE Disponible aussi au CTAen
dcterms.isPartOfSporeen
dcterms.issued1992
dcterms.languagefr
dcterms.publisherTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
dcterms.typeNews Item

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