Les N’Dama sous-estimés

cg.contributor.affiliationTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
cg.howPublishedFormally Publisheden
cg.issn1011-0046en
cg.journalSporeen
cg.number12en
cg.placeWageningen, The Netherlandsen
dc.contributor.authorTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
dc.date.accessioned2015-03-19T13:49:12Zen
dc.date.available2015-03-19T13:49:12Zen
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/10568/58820
dc.titleLes N’Dama sous-estimésfr
dcterms.abstractLe potentiel laitier des N'Dama trypanotolérants a été longtemps sous-estimé. C'est ce qui ressort des premiers résultats d'une étude menée dans deux villages gambiens par l'International Trypanotolerance Centre, créé en Gambie en mai...en
dcterms.accessRightsLimited Access
dcterms.bibliographicCitationCTA. 1987. Les N?Dama sous-estimés. Spore 12. CTA, Wageningen, The Netherlands.en
dcterms.descriptionLe potentiel laitier des N'Dama trypanotolérants a été longtemps sous-estimé. C'est ce qui ressort des premiers résultats d'une étude menée dans deux villages gambiens par l'International Trypanotolerance Centre, créé en Gambie en mai dernier, en association avec VILRAD et le CIPEA. Cette étude a en effet révélé que les vaches N'Dama, de petite taille et réputées piètres laitières, pouvaient, tout en nourrissant son veau, produire un excédent annuel de 265 kg de lait pour la consommation humaine. Des mesures ont été effectuées sur des vaches pesant environ 210 kg allaitant un veau. A leur sevrage, alors qu'ils pesaient 55 kg, la consommation laitière de ces veaux a été estimée à 350 kg, soit un peu plus de la moitié de la production des mères évaluée à 600 kg. D'autres points de l'étude ont porté sur la santé animale, notamment sur la tolérance des N'Dama aux infections de trypanosomes. Bien que les taux d'infestation soient variables selon la localisation des villages, il est apparu que les animaux les plus infestés se trouvaient dans la tranche d'âge de 3 à 9 ans. Les moins touchés étaient les plus âgés et, dans une moindre mesure, ceux qui étaient en pré ou post-sevrage. L'analyse des anticorps a également montré, sur un échantillon de 1 000 têtes, que les taux d'anticorps étaient les plus élevés chez les animaux âgés et, au contraire, qu'il n'y en avait que quelques signes en dessous de 5 ans. On s'est aperçu que le taux d'anticorps variait selon les saisons et les lieux et que, parfois, il n'y en avait pas trace du tout. Pour en savoir plus, contacter: ILRAD P.O. Box 30709 Nairobi KENYAen
dcterms.isPartOfSporeen
dcterms.issued1987
dcterms.languagefr
dcterms.publisherTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
dcterms.typeNews Item

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