Quand le tabac part en fumée

cg.contributor.affiliationTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
cg.howPublishedFormally Publisheden
cg.identifier.urlhttps://hdl.handle.net/10568/99664en
cg.issn1011-0046en
cg.journalSporeen
cg.number91en
cg.placeWageningen, The Netherlandsen
dc.contributor.authorTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
dc.date.accessioned2015-03-26T12:10:24Zen
dc.date.available2015-03-26T12:10:24Zen
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/10568/62547
dc.titleQuand le tabac part en fuméefr
dcterms.abstractLes campagnes anti-tabac dans les pays du Nord ont des incidences fâcheuses sur les cours. Les prix du tabac n’ont jamais été aussi bas depuis une décennie et les producteurs africains sont très inquiets. Jusqu’à ces dernières années, le...en
dcterms.accessRightsOpen Access
dcterms.bibliographicCitationCTA. 2001. Quand le tabac part en fumée. Spore 91. CTA, Wageningen, The Netherlands.en
dcterms.descriptionLes campagnes anti-tabac dans les pays du Nord ont des incidences fâcheuses sur les cours. Les prix du tabac n’ont jamais été aussi bas depuis une décennie et les producteurs africains sont très inquiets. Jusqu’à ces dernières années, le tabac était pourtant une bonne culture de rente, aux cours stables, nécessitant peu d’investissements et pour laquelle on obtenait facilement des prêts. Au Zimbabwe, le 'virginie' (7 700 producteurs et 100 000 travailleurs agricoles) a propulsé le pays à la deuxième place d’exportateur mondial. Ce tabac séché en plein air a rapporté, en 2000, 400 millions de dollars US (t 458 millions), soit un tiers des revenus d’exportation du Zimbabwe. Le Malawi est le premier exportateur mondial de 'burley' : 90 000 petits producteurs et plus de 500 000 travailleurs vivent de ce tabac séché dans des hangars spéciaux. Cette année, il a rapporté dans les caisses du pays 142 millions de dollars US (t 163 millions), ce qui représente 30 % du PIB. On envisage aujourd’hui des cultures de substitution. Au Malawi, on pense au paprika, aux noix de macadamia, aux fleurs coupées et à diverses épices. Le paprika semble être la meilleure option : c’est une culture annuelle dont le cycle de végétation et le mode de culture ressemblent beaucoup à ceux du tabac. C’est aussi un produit à la rentabilité immédiate et facile à exporter. On estime que le pays pourrait en vendre 10000 tonnes par an, contre 3000 tonnes actuellement. Reste à convaincre les producteurs de tabac… que le paprika, contrairement à la cigarette, ne nuit pas gravement à la santé.en
dcterms.isPartOfSporeen
dcterms.issued2001
dcterms.languagefr
dcterms.publisherTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
dcterms.typeNews Item

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