Les ignames au Cameroun

cg.contributor.affiliationTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
cg.howPublishedFormally Publisheden
cg.issn1011-0046en
cg.journalSporeen
cg.number54en
cg.placeWageningen, The Netherlandsen
dc.contributor.authorTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
dc.date.accessioned2015-03-23T11:06:53Zen
dc.date.available2015-03-23T11:06:53Zen
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/10568/60693
dc.titleLes ignames au Camerounen
dcterms.abstractTrois chercheurs spécialistes de l'igname (Dioscorea) nous livrent ici les résultats d'une minutieuse enquête menée au Cameroun entre 1986 et 1988 23 espèces (16 sauvages et 7 cultivées) ont été dénombrées. Les caractéristiques...en
dcterms.accessRightsLimited Access
dcterms.bibliographicCitationCTA. 1994. Les ignames au Cameroun. Spore 54. CTA, Wageningen, The Netherlands.en
dcterms.descriptionTrois chercheurs spécialistes de l'igname (Dioscorea) nous livrent ici les résultats d'une minutieuse enquête menée au Cameroun entre 1986 et 1988 23 espèces (16 sauvages et 7 cultivées) ont été dénombrées. Les caractéristiques morphologiques et enzymatiques de chacune d'entre elles ont été étudiées, ce qui a permis de retracer leurs affinités génétiques. La domestication de certaines des variétés sauvages d'igname semble remonter à une époque très ancienne. Pour d'autres variétés, la mise en culture des formes sauvages se poursuit encore. Les auteurs distinguent trois étapes de domestication : la cueillette (de variétés sauvages spontanées), la protoculture (soins minima de la plante, dans son milieu), et la culture, à l'origine de la sélection génétique des variétés actuelles. Sans pouvoir en expliquer les raisons précises, les auteurs constatent que la domestication de certaines espèces entraîne à la fois une modification de la toxicité et de la morphologie des tubercules d'igname, qui deviennent souvent plus volumineux. Cependant, les exigences du marché et le développement des cultures de rente rétrécissent de plus en plus la gamme variétale, ce qui impliquerait des mesures urgentes de protection. Enfin, un bref chapitre sur les aspects économiques souligne la rentabilité de l'igname : de 1 500 à 3 700 F CFA par jour, contre 500 à 600 F CFA pour le sorgho d'hivernage ou le cotonnier. Mais le temps de travail que nécessite cette culture reste un facteur limitant important de son développement. Les ignames au Cameroun Roland Dumont et al, 1994, 80 pages CIRAD-CA - BP 5035 - 34032 Montpellier Cedex 1-Franceen
dcterms.isPartOfSporeen
dcterms.issued1994
dcterms.languagefr
dcterms.publisherTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
dcterms.typeNews Item

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