Atelier sur la lutte contre la mouche de la mangue: rapport
cg.contributor.affiliation | Technical Centre for Agricultural and Rural Cooperation | en_US |
cg.coverage.region | Western Africa | en_US |
cg.coverage.region | Africa | en_US |
cg.place | Wageningen, The Netherlands | en_US |
cg.subject.cta | PRODUCTION ET PROTECTION VÉGÉTALE | en_US |
dc.contributor.author | Technical Centre for Agricultural and Rural Cooperation | en_US |
dc.date.accessioned | 2015-03-31T07:14:35Z | en_US |
dc.date.available | 2015-03-31T07:14:35Z | en_US |
dc.identifier.uri | https://hdl.handle.net/10568/64567 | en_US |
dc.title | Atelier sur la lutte contre la mouche de la mangue: rapport | en_US |
dcterms.abstract | Le CTA et l’USAID ont appuyé l’organisation de cet atelier par la CMA/AOC pour soutenir les acteurs de la filière fruits et légumes en mettant à leur dispositions des informations sur les moyens et techniques de lutte contre la mouche de la mangue | en_US |
dcterms.accessRights | Limited Access | en_US |
dcterms.bibliographicCitation | CTA. 2006. Atelier sur la lutte contre la mouche de la mangue: rapport. CTA, Wageningen, The Netherlands | en_US |
dcterms.description | RESUME ANALYTIQUE Les principaux points qui ont retenu l’attention au cours des travaux de l’atelier sur la lutte contre la mouche de la mangue tenu à Conakry, en République de Guinée le 1er Décembre 2006, sont : - la présence dans tous les pays de l’Afrique de l’Ouest et du Centre (AOC) de deux principales espèces à savoir Bactrocera invadens et Ceratitis cosyra. Ces espèces attaquent les mangues (Mangifera indica) mais également les autres fruits (papayes, goyaves et les agrumes) occasionnant des pertes importantes dans la production, - l’importance de la filière mangue en AOC. Sur un total de 183 000 tonnes importées en 2005 en Europe (UE - 15) contre 16 000 tonnes en 1985, 20 000 tonnes proviennent des pays ACP en 2005 (11% de parts du marché UE) dont 18 000 tonnes sont d’origines ouest et centre africaines (90%), - les atouts de l’AOC en matière d’offre de mangues en raison de la qualité reconnue des origines ouest et centre africaines, du bon positionnement variétal et du savoir-faire des entreprises, - le risque encouru par les pays AOC de perdre cet avantage comparatif en raison de la mouche de la mangue. Par exemple en 2005, la France a procédé à d’importantes interceptions de conteneurs de mangues en provenance des pays AOC : Cameroun 13, Mali 7, Côte d’Ivoire 5 et Sénégal 3. La Grande Bretagne a intercepté 3 conteneurs de fruits : 2 en provenance du Sénégal et 1 de la Gambie. Les frais de destruction sont estimés a environ 31 000 euros par conteneur de fruits intercepté, - la prise de conscience des dégâts importants occasionnés par la mouche de la part de la communauté scientifique, des services techniques de l’Etat, des opérateurs économiques (producteurs, exportateurs et acheteurs), des décideurs politiques et également des organismes d’appui ; mais cette prise de conscience est récente et incomplète en raison du caractère multidimensionnel du phénomène de la mouche, - l’inexistence d’une solution unique, immédiate et économique au problème. Il faut une coordination entre tous les acteurs pour régler le problème et pour cela les travaux à mener au plan national dans chaque pays concerné est à consolider au niveau régional, - des types de traitements qui existent actuellement : traitement à l’eau chaude, à l’air chaud, par irradiation et au micro-ondes. Le traitement à l’eau chaude est le plus accessible aux plans techniques et commercial pour les pays AOC. Les autres techniques demandent des installations chères et difficiles à amortir, - la création d’un comité d’initiative régionale pour la mise en place d’une stratégie régionale de lutte contre la mouche de la mangue sous la présidence de la CMA/AOC et avec l’appui de l’Observatoire régional de la filière fruits et légumes, - l’appel lancé aux partenaires techniques et financiers, en particulier le CTA et le COLEACP qui sont soutenus par l’union Européenne, à mettre à disposition les connaissances et méthodes dont ils disposent en accompagnant les chercheurs dans l’élaboration d’une définition claire d’un plan stratégique et en les appuyant pour la mobilisation des ressources. | en_US |
dcterms.issued | 2006 | en_US |
dcterms.language | fr | en_US |
dcterms.publisher | Technical Centre for Agricultural and Rural Cooperation | en_US |
dcterms.type | Report | en_US |