Sorgho maladie des bandes de suie

cg.contributor.affiliationTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
cg.howPublishedFormally Publisheden
cg.issn1011-0046en
cg.journalSporeen
cg.number44en
cg.placeWageningen, The Netherlandsen
dc.contributor.authorTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
dc.date.accessioned2015-03-23T11:06:18Zen
dc.date.available2015-03-23T11:06:18Zen
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/10568/60300
dc.titleSorgho maladie des bandes de suieen
dcterms.abstractLa maladie des bandes de suie estime grave maladie du sorgho. Provoquée par un champignon appelé Ramulispora sorghi, elle frappe particulièrement les zones enregistrant une pluviométrie annuelle moyenne comprise entre 500 et 1000 mm. Des études...en
dcterms.accessRightsLimited Access
dcterms.bibliographicCitationCTA. 1993. Sorgho maladie des bandes de suie. Spore 44. CTA, Wageningen, The Netherlands.en
dcterms.descriptionLa maladie des bandes de suie estime grave maladie du sorgho. Provoquée par un champignon appelé Ramulispora sorghi, elle frappe particulièrement les zones enregistrant une pluviométrie annuelle moyenne comprise entre 500 et 1000 mm. Des études récentes indiquent que la maladie des bandes de suie du sorgho peut causer la perte de 50% des récoltes. Les scientifiques de plusieurs pays d’Afrique occidentale ont conjugué leurs efforts à ceux des chercheurs de l’ICRISAT (International Crops Research Intitute for the Semi-Arid Tropics - Institut international de recherche sur les cultures pour les zones tropicales semiarides) afin de trouver des moyens d’arrêter la progression de ce champignon. Les travaux ont commencé en 1990 au Mali, où l’équipe de chercheurs de l’ICRISAT, le West Africa Sorghum Improvement Programme (WASIP - Programme d’amélioration du sorgho en Afrique occidentale) a délibérément infecté des plants de sorgho avec la maladie des bandes de suie afin d’étudier leur résistance à cette affection. Ils ont vaporisé ces plants d’une suspension contenant des spores de cette maladie prélevés sur les lésions de plantes infectées. En 1992, l’efficacité de cette technique a été confirmée par des chercheurs du programme national du Burina Faso, qui ont modifié la procédure en plaçant la suspension fongique dans les verticilles. Cette méthode de dépistage simple et peu coûteuse représente une solution pratique pour les programmes de recherche ne bénéficiant pas d’éc uipements de laboratoire sophistiqués. En 1993, les scientifiques du Burkina Faso, du Mali et du Niger tenteront, en coopération avec le WASIP, d’affiner cette technique de dépistage dans le cadre de leur lutte contre cette maladie. ICRISAT - Patancheru Andhra Pradesh 502 324 INDEen
dcterms.isPartOfSporeen
dcterms.issued1993
dcterms.languagefr
dcterms.publisherTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
dcterms.typeNews Item

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