Commerce régional : des possibilités croissantes
cg.contributor.affiliation | Technical Centre for Agricultural and Rural Cooperation | en |
cg.howPublished | Formally Published | en |
cg.identifier.url | https://hdl.handle.net/10568/99666 | en |
cg.issn | 1011-0046 | en |
cg.journal | Spore | en |
cg.number | 93 | en |
cg.place | Wageningen, The Netherlands | en |
dc.contributor.author | Technical Centre for Agricultural and Rural Cooperation | en |
dc.date.accessioned | 2015-03-26T12:10:38Z | en |
dc.date.available | 2015-03-26T12:10:38Z | en |
dc.identifier.uri | https://hdl.handle.net/10568/62652 | |
dc.title | Commerce régional : des possibilités croissantes | fr |
dcterms.abstract | Quand vos fournisseurs et vos marchés traditionnels sont à 5 000 ou 10 000 kilomètres, il est raisonnable de chercher à développer un commerce plus près de chez vous — même si vos voisins sont à un ou deux jours de bateau.Prenons l’exemple... | en |
dcterms.accessRights | Open Access | |
dcterms.bibliographicCitation | CTA. 2001. Commerce régional : des possibilités croissantes. Spore 93. CTA, Wageningen, The Netherlands. | en |
dcterms.description | Quand vos fournisseurs et vos marchés traditionnels sont à 5 000 ou 10 000 kilomètres, il est raisonnable de chercher à développer un commerce plus près de chez vous — même si vos voisins sont à un ou deux jours de bateau. Prenons l’exemple des producteurs et des marchands des îles de l’océan Indien (les Comores, Madagascar, Maurice, la Réunion et les Seychelles). Le commerce inter-îles ne représente actuellement que 3 % de leurs échanges commerciaux et il y a beaucoup à faire pour le développer tout en respectant des normes de qualité conformes à celles du commerce international. Les économies des Comores et de Madagascar sont dominées par une activité agricole axée sur le marché national ; il y a pour elles bien des opportunités d’exportation à saisir. Les autres îles sont plus ouvertes au marché international mais aussi très dépendantes de l’importation de produits alimentaires, en partie à cause du développement du tourisme haut de gamme. Elles pourraient réaliser des économies significatives en important des îles voisines, et non plus de Chine, d’Europe, d’Inde, du Kenya ou d’Afrique du Sud. La difficulté est toutefois de garantir la qualité des produits et la fiabilité de la chaîne de distribution, en particulier dans le sous-secteur de la transformation des produits périssables (poisson, viande, fruits et légumes). Comment développer et renforcer les petites entreprises de commerce inter-îles était le thème du séminaire organisé en mars 2001 dans la capitale malgache Antananarivo par le CTA, le Bureau international du travail et le Programme régional intégré pour le développement des échanges commerciaux (PRIDE). Les enquêtes préliminaires sur le commerce actuel, par produit et par pays, ont ouvert des perspectives sur des produits finis et des méthodes qui peuvent être intéressants pour d’autres groupes d’îles. Les trente participants à ce séminaire ont demandé une meilleure harmonisation des normes sanitaires et de qualité des aliments, la suppression des droits de douane et un meilleur accès à l’information sur les marchés. C’est sur ce dernier point qu’on serait le plus avancé, si les diverses initiatives de réseaux régionaux d’information, une fois opérationnelles, étaient plus étroitement intégrées et si les organisations régionales jouaient plus activement leur rôle. Il est clair qu’en travaillant ensemble à augmenter les exportations des uns vers les autres, les cinq pays concernés amélioreront leur capacité commerciale sur le marché régional et mondial. PRIDE BP 34 Antananarivo 101, Madagascar Fax : + 261 20 22 64136 Site Web: www.coi-info.org/pride | en |
dcterms.isPartOf | Spore | en |
dcterms.issued | 2001 | |
dcterms.language | fr | |
dcterms.publisher | Technical Centre for Agricultural and Rural Cooperation | en |
dcterms.type | News Item |