La réforme de la PAC n'est pas 'mise en veilleuse'

cg.contributor.affiliationTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
cg.coverage.regionACPen
cg.coverage.regionAfricaen
cg.coverage.regionCaribbeanen
cg.coverage.regionOceaniaen
cg.howPublishedFormally Publisheden
cg.identifier.urlhttp://agritrade.cta.int/fr/Archives/Newsletter-Agriculture/2002/Decembre-2002en
cg.journalAgritradeen
cg.numberDécembre 2002en
cg.placeWageningen, The Netherlandsen
cg.subject.ctaMARKETINGen
cg.subject.ctaCOMMERCEen
dc.contributor.authorTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
dc.date.accessioned2015-03-30T07:16:42Zen
dc.date.available2015-03-30T07:16:42Zen
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/10568/64009
dc.titleLa réforme de la PAC n'est pas 'mise en veilleuse'en
dcterms.abstractS'adressant au secteur agro-industriel irlandais, le...en
dcterms.accessRightsOpen Accessen
dcterms.bibliographicCitationCTA. 2002. La réforme de la PAC n'est pas 'mise en veilleuse'. Décembre 2002. CTA, Wageningen, The Netherlands.en
dcterms.descriptionS'adressant au secteur agro-industriel irlandais, le 11 novembre 2002, le commissaire Fischler a indiqué que l'UE doit rendre l'agriculture 'plus compétitive et plus orientée vers les marchés'. Il a souligné le fait que cet objectif sous-tend la proposition de la Commission pour le bilan à mi-parcours de la PAC. Le commissaire Fischler a rappelé l'importance : * de renforcer le pilier développement rural de la PAC ; * d'aller vers un système découplé de paiement des dépenses agricoles, lié à une conformité réciproque avec des critères environnementaux, de santé animale et de sécurité alimentaire ; * d'améliorer la compétitivité des prix de l'agriculture de l'UE ; * de promouvoir l'élévation des normes de qualité alimentaire. Il a indiqué que le découplage des paiements agricoles de la production est toujours d'actualité en soulignant que la seule alternative au découplage serait 'un arrêt brutal des aides directes', ce qui ne serait pas - selon le commissaire - 'la meilleure option'. Il a soutenu que les réformes proposées confèreraient à l'UE une position dominante dans l'exportation des produits alimentaires et boissons, tout en insistant sur le fait que l'UE devrait respecter ses obligations vis à vis de l'OMC en cessant les soutiens qui faussent le commerce. S'agissant de l'extension de la réforme à d'autres secteurs, le commissaire a souligné que la réforme du secteur laitier, déjà approuvée, devrait être mise en place en 2007 et 2008. Ce retard devrait compliquer le processus, compte-tenu de la nécessité de parvenir à un accord dans une UE élargie. Comment: Bien que le calendrier et les détails de la réforme de la PAC soient encore incertains, les débats récents montrent que la direction d'ensemble reste claire, à savoir qu'elle va vers le découplage des dépenses agricoles par rapport à la production. Les pays ACP s'interrogent sur ce qu'il adviendra des produits vers lesquels leurs exportateurs se sont diversifié (comme les fleurs coupées) qui ne font pas l'objet d'un soutien au prix ou d'aides indirectes, bien que faisant partie du régime de la PAC. Par exemple est-ce qu'un système de non production lié au découplage des dépenses agricoles exercera une pression vers la baisse sur les prix du marché dans le secteur des fleurs coupées, au détriment des producteurs ACP ?en
dcterms.isPartOfAgritradeen
dcterms.issued2002en
dcterms.languagefren
dcterms.publisherTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
dcterms.typeNews Itemen

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