Le clou de girofle : le retour

cg.contributor.affiliationTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
cg.howPublishedFormally Publisheden
cg.identifier.urlhttps://hdl.handle.net/10568/99666en
cg.issn1011-0046en
cg.journalSporeen
cg.number93en
cg.placeWageningen, The Netherlandsen
dc.contributor.authorTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
dc.date.accessioned2015-03-26T12:10:38Zen
dc.date.available2015-03-26T12:10:38Zen
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/10568/62649
dc.titleLe clou de girofle : le retourfr
dcterms.abstractZanzibar produisait 20 000 t de clous de girofle par an dans les années 60. Cette production s’est ensuite ralentie. Tandis que l’Indonésie, sa meilleure cliente, devenait autosuffisante au milieu des années 80, le vieillissement des arbres,...en
dcterms.accessRightsOpen Access
dcterms.bibliographicCitationCTA. 2001. Le clou de girofle : le retour. Spore 93. CTA, Wageningen, The Netherlands.en
dcterms.descriptionZanzibar produisait 20 000 t de clous de girofle par an dans les années 60. Cette production s’est ensuite ralentie. Tandis que l’Indonésie, sa meilleure cliente, devenait autosuffisante au milieu des années 80, le vieillissement des arbres, les maladies, les sécheresses qui ont sévi dans les années 90 entraînant l’incendie de millions d’arbres ont précipité la chute du girofle. En 1998, sa production n’atteignait plus que 204 t. Elle a repris dernièrement et le clou de girofle se développe à nouveau sur l’île de Zanzibar. Des marchés de niche ont été développés en Inde, en Thaïlande et aux Pays-Bas. Sa production a atteint 10 000 t en 2000. Selon la FAO, la production mondiale annuelle est de 89 500en
dcterms.isPartOfSporeen
dcterms.issued2001
dcterms.languagefr
dcterms.publisherTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
dcterms.typeNews Item

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