Un plateau de pommes de terre

cg.contributor.affiliationTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
cg.howPublishedFormally Publisheden
cg.identifier.urlhttps://hdl.handle.net/10568/99659en
cg.issn1011-0046en
cg.journalSporeen
cg.number86en
cg.placeWageningen, The Netherlandsen
dc.contributor.authorTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
dc.date.accessioned2015-03-26T12:09:38Zen
dc.date.available2015-03-26T12:09:38Zen
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/10568/62222
dc.titleUn plateau de pommes de terrefr
dcterms.abstractSur le plateau du Fouta-Djalon, en Guinée, la pomme de terre fait fureur. En dix ans, le rendement a plus que quadruplé (22 t/ha contre 5 t/ha). Plus de 2 000 t ont été vendues sur les marchés locaux, mais aussi au Sénégal voisin. Il faut...en
dcterms.accessRightsOpen Access
dcterms.bibliographicCitationCTA. 2000. Un plateau de pommes de terre. Spore 86. CTA, Wageningen, The Netherlands.en
dcterms.descriptionSur le plateau du Fouta-Djalon, en Guinée, la pomme de terre fait fureur. En dix ans, le rendement a plus que quadruplé (22 t/ha contre 5 t/ha). Plus de 2 000 t ont été vendues sur les marchés locaux, mais aussi au Sénégal voisin. Il faut dire que les importations européennes ont été bloquées partiellement pendant six ans pour encourager la production locale. La pomme de terre aime la saison froide de Guinée (de décembre à mars) où elle est cultivée en rotation avec le riz, le maïs et l’arachide. Elle est également bien payée (350 FG/0, 219 h le kg directement au producteur). Le prix unique est fixé à l’avance et l’écoulement de la production est assuré par les groupements de paysans, en contact avec les commerçants qui envoient chercher les sacs dès qu’ils peuvent en remplir un camion. C’est la Fédération des paysans du Fouta-Djalon (FPFD), une organisation dynamique, à la fois coopérative (elle achète les intrants et stocke les récoltes) et syndicat regroupant près de 12 000 membres, qui est à l’origine de ce succès. L’aide d’organisations extérieures et d’agriculteurs français a fait le reste. Les femmes, qui représentent 70% des effectifs, sont particulièrement satisfaites. Elles bénéficient de formations (alphabétisation, commercialisation) et apprécient les ressources financières tirées de la pomme de terre et qui sont investies par exemple dans les frais de santé et d’école des enfants. La FPFD oriente maintenant son action vers la production d’oignons et de tomates, très demandés localement. Afrique-Agriculture, n° 276, décembre 1999. FPFD BP 52, Pita — GUINÉEen
dcterms.isPartOfSporeen
dcterms.issued2000
dcterms.languagefr
dcterms.publisherTechnical Centre for Agricultural and Rural Cooperationen
dcterms.typeNews Item

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